Hervé LE FIBLEC Christian MAX
Le choix de l’autonomie avait deux fondements : créer un modèle démocratique, avec le système des tendances, pour montrer que l’unité syndicale, même réduite à un secteur, était possible, d’une part et, d’autre part, occuper dans le paysage syndical français une place permettant de faire le lien entre les organisations et œuvrer à la réunification, ou à l’unification, du syndicalisme.
Les constats que l’on peut faire de ce point de vue sont assez tristes.
Note pour le Séminaire du 30 Août 2007
Par Claudie Martens, Daniel Robin
Un congrès décisif
Par jean Paul Beauquier
Le temps de préparation du prochain congrès national de la FSU est ouvert ; dès aujourd’hui toutes les sections départementales, tous les syndicats, toutes les tendances qui animent la vie de notre fédération et assument la responsabilité publique de ses initiatives et de ses prises de position sont face à un défi, dont il convient d’être conscient.
Par Agnès Huret
C’est la première fois que je me rendais à une réunion nationale de la FSU. Quelques remarques sur une drôle d’organisation.
Par P. TOUSSENEL, A. CLAVEL, J. BRENGOU
Nous suggérons d’examiner et de mettre en débat, avec nos camarades UA des autres syndicats la proposition suivante : constituer, par un additif aux statuts FSU une "section fédérale" des retraités.
Syndicalisme : de quoi parlons-nous ?
Dans le cadre de la préparation du Congrès FSU (perpignan 2004) et des enjeux pour un syndicalisme plus unitaire et plus efficace, la lecture de la dernière revue Unité et Action nous conduit à exprimer la position du secrétariat FSU des Bouches-du-Rhône.
La question vaut bien d’être posée car il s’agit dans la préparation de notre congrès national de l’avenir à moyen terme de notre fédération, de sa place dans le paysage syndical français et, au-delà, (...)